Intitulé « 1000 jours auront suffi au gouvernement pour dégrader les conditions d’accueil des jeunes enfants, Pas de bébés à la consigne continue le combat pour la qualité de modes d’accueil », ce communiqué explique que cette réforme « va se traduire par une dégradation manifeste de la qualité d’accueil des tout-petits et des conditions de travail des professionnels ».
Malgré quelques avancées comme la médecine du travail pour les assistants maternels, le Collectif considère que la plupart des mesures constituent des « reculs notables qui impacteront sans aucun doute la qualité des modes d’accueil ». Et de citer les dispositions sur le taux d’encadrement (et notamment l’option 1 adulte pour 6 enfants), l’inclusion des apprentis dans l’encadrement, l’accueil en surnombre, l’augmentation d’accueil des micros crèches etc. Bref, toutes celles que depuis le début de la concertation, il conteste et combat.
Pas de bébés à la consigne conclut qu’il ne « baissera pas les bras et ne renoncera pas à ce que cette contre-réforme des modes d’accueil soit remise en cause ».
Et prévient : « dans les semaines et mois qui viennent, le collectif prendra les initiatives nécessaires pour une véritable réforme de progrès des modes d’accueil et s’adressera à l’ensemble des responsables concernés , en particulier les candidats aux prochaines élections de 2022 » .
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