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Service public de la petite enfance

Le droit à un mode d’accueil accessible pour tout parent qui le souhaite, il en fut question dès la campagne présidentielle 2022. C’était un des engagements du candidat-président Emmanuel Macron. Et d’autres aussi. Pour le président réélu et ses gouvernements successifs, ce Service public de la petite enfance (SPPE), c’était clair, comprenait tous les acteurs : gestionnaires privés non lucratifs, privés lucratifs et publics. Les partis de gauche, eux, le concevaient avec des acteurs exclusivement publics ou associatifs et visaient la gratuité. Il y eut une longue concertation nationale mais aussi territoriale menée, à la demande de Jean-Christophe Combe, alors ministre des Solidarités et par Elisabeth Laithier,  présidente du Comité de filière petite enfance. Puis, au CNR petite enfance d’Angers, en juin 2023, les contours plus précis du SPPE se dessinaient. En décembre de la même année, avec le vote de la loi sur Plein Emploi et notamment ses articles 17 et 18, le SPPE était sur les rails.
Retrouvez ici toute la saga du SPPE, ses avancées, les espoirs et craintes qu’il suscite, ses zones d’ombres, ses promesses. Lancement offciel le 1 janvier 2025.

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